Voici sept pièces en papier mâché qui représentent la femme. Toutes sont des réalisations de première semaine d'apprentissage.
Deux de ces statues ont une robe longue qui sert de socle, et les autres sont habillées de jupes plus courtes,
faisant apparaître jambes ou pantalons, et qui pour bien tenir debout, nécessitent non seulement d'un socle mais aussi d'ossatures très différentes de celles en robes longues.
Cinq jours de stage ont été nécessaires pour arriver à construire ces ouvrages.
Toutefois, je les considère comme non finis. Il reste encore à affiner les formes et lisser les surfaces.
En somme; Tout ce que l'on voit dans le programme de la seconde semaine de stage.
Ce sera une robe de soirée pour cette miss qui se passe les mains dans les cheveux pour les remettre en place.
Certes les mains ne sont pas présentes, car à l'état d'ébauche au moment de la prise de vue et c'est regrettable...
Contrairement à l'absurdité du système actuel d'ultra-consomation, la sculpture n'est pas quelque chose qui se fait à la va vite.
Il faut du temps pour peaufiner et cinq jours de stage ne sont quantitativement pas suffisent pour entrer à fond dans les détails.
Sur le plan technique; Par rapport à celle qui est en jupe courte, cette sculpture a été plus facile à mettre en place du point de vue structure puisque c'est la robe longue qui fait office de socle.
La robe de ce personnage stabilise l'ouvrage et facilite donc la création de l'ossature. Arrivé à ce stade; Il est encore possible d'ajouter par exemple, des plis sur le bas pour donner un peu de mouvement. Bien entendu un travail de lissage donnerait un peu plus d'élégance à cette dame, qui en l'état risque de se voir refuser l'entrée au bal.
Ci-dessous: La statue que Marianne a fait avec une jupe fendue.De même niveau de difficulté que la pièce ci-dessous, voici sur socle, une statue représentant une institutrice aux bras croisée dans le dos et au bas de robe fendue. Marianne a réalisé cette sculpture en cinq jours d'atelier.
Sur socle, voici un personnage avec une jupe aux genoux et un soufflet dans le chemisier. Il reste encore du travail de lissage et de finition, ainsi que la chevelure à terminer.
Ci-dessous, la sculpture en papier maché que Muriel a, elle aussi, fabriqué en stage.
Une petite veste, une robe sur le pantalon. De belles chaussures et une superbe coiffure.
Cette statue de femme en papier mâché, au bras droit mal proportionné, à été sculptée sur une ossature en carton posée sur un socle.
Une ossature un peu plus longue à faire, puisque les membres du personnage sont fins et bien détachés du corps.
Toutefois, les jambes sont droites et alignées, ce qui simplifie un peu le montage.
Par contre, ce sont les bras qui présentent un peu de difficulté pour la construction de cette oeuvre, mais rien de bien méchant.
Cinq jours de stage papier mâché ont été nécessaires pour en arriver à ce stade.
Reste éventuellement encore avant de la peindre, à affiner les formes et lisser la surface en plusieurs passages.
Après séchage, quelques interventions plastiques sont nécessaires.
Sur le visage par exemple il faudra affiner le nez et les sourcils, débroussailler la mâchoire inférieure,
donner du style à la coiffure, à la forme du cou, etc.
Tout ce que l'on voit dans le programme de la seconde semaine de stage, en somme !
Il y a beaucoup de détails sur cet ouvrage, qui ont été fait avec de la pulpe et de l'argile de papier. Il y a encore un peu de travail à faire sur le visage.
Ici nous avons affaire à une structure plus difficile à réaliser, vu la finesse des jambes et la position des bras.
PS: Encore une pièce qui aurait besoin d'un bon lissage.